Green IT: l’informatique écologique


De nos jours, l’écologie prend une place de plus en plus importante dans le monde. Ainsi, tous (ou presque) les secteurs cherchent à se donner une image écolo. Ce sont surtout les marques qui cherchent à se donner une image respectueuse de l’environnement, qui ne gaspille pas d’energie ou qui fait du recyclage.

Dès lors, s’est mis en place le Green computing,  qui est une tendance à ne pas gaspiller les ressources et à économiser le plus d’énergie possible (consommation électrique…). Les fabricants cherchent alors à améliorer les performances de leurs produits tout en créant des machines capables de moins consommer en ressource. D’après Wikipédia, les TIC sont responsables de 5% d’emission de gaz à effet de serre en France. Ainsi, plusieurs constructeurs se sont mis dans l’idée de fabriquer de plus en plus de produit écolo. D’autant plus que les ONG ne se gênent pas pour mettre la pression aux grand patrons en classant les patrons selon leur degré d’implication dans la cause écologique (Greenpeace cherche à déterminer qui est la patron le plus “vert”).

Par conséquent, un phénomène en entrainant un autre, tous les constructeurs cherchent à se donner bonne image. Des labels ont été crées pour récompenser les plus “verts”. Les ONG n’hésitent pas à critiquer les entreprises qui ne font pas de l’écologie comme Apple dont les produits contiennent des substances chimiques (phtalates, plomb, mercure, etc.) que d’autres fabricants sont en train d’abandonner. Dès lors, une autre concurrence s’est mise en place: qui sera l’entreprise la plus verte.  Mais le but est-il réellement celui du developpement durable ? N’est-ce pas une façade pour se donner bonne conscience, ou bonne image ? Car le developpement durable est aujourd’hui un concept marketing: les entreprises font écolo pour plaire, les gens sont écolo pour faire croire qu’ils sont consciencieux…Il est facile de faire du développement durable quand on est une grande entreprise car on en a les moyens, et pour les PME ? Et pour les pauvres ?

Il faut néanmoins,se résoudre à une chose c’est que le développement durable n’existe pas puisque les ressources naturelles sont finies et non infinies, ce n’est donc pas si durable que ça. Mais l’espoir fait vivre.


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